L’équipe de France est désormais 23ème au classement FIFA. Elle a déjà fait pire il y a trois ans. Et ce n’est pas le seul ex-champion du monde, loin de là, à être tombé sous la vingtième place.
Brésil
Le Brésil est l’adversaire sud-américain le plus souvent rencontré par l’équipe de France (15 fois depuis 1958), même s’il vient après une vingtaine de sélections européennes. Une toute première confrontation, en juillet 1930 juste après la Coupe du monde en Uruguay (2-3) n’a pas été officialisée par la FFF. Le premier match officiel est donc la demi-finale de la Coupe du monde 1958 en Suède, avec un triplé de Pelé (2-5). La première victoire française arrive en avril 1978, lors d’un amical au Parc (1-0), un an après un nul historique au Maracana (2-2). Et les Bleus barrent trois fois la route aux Brésiliens en Coupe du monde, en quart de finale en 1986 et en 2006 et en finale en 1998. Le bilan est redevenu favorable aux Auriverde dans les années 2010 après deux victoires amicales en 2013 (3-0) et 2015 (3-1).
Brésil-France (3-0) : comme un air de revanche
Une valeureuse équipe de France a tenu une mi-temps avant de perdre complètement le fil face à des Brésiliens largement dominateurs dans la dernière demi-heure (0-3). La rentrée s’annonce très compliquée.
Histoire des France-Brésil (2) : de Zidane à Neymar
Depuis trente ans, la fréquence des France-Brésil a augmenté, au bénéfice des Bleus dont la dernière défaite remonte au mois d’août 1992. Avec bien sûr les deux sommets historiques du 12 juillet 1998 et du 1er juillet 2006 et une victoire par KO de Zidane sur Ronaldo.
30 juin 1977 : Brésil-France
Le jour où la jeune équipe de France de Michel Hidalgo a écrit la première page de sa légende : le Maracana, Rivelino et Paulo Cesar, deux buts à remonter, un sombrero de Six et un coup de caboche de Trésor. Tremble, Brésil, les Bleus arrivent !
Socrates, le chevalier errant d’une équipe de légende
Ainsi donc, l’immense Socrates est mort à 57 ans, prématurément comme il se doit. Capitaine d’une des plus belles équipes de tous les temps, jamais titré en sélection, il restera pour toujours un des plus grands adversaires que les Bleus aient jamais croisé.
1981, une année dans le siècle
Cinq défaites, trente-deux joueurs utilisés, un schéma de jeu mal défini, mais aussi les prémisses du carré magique avec le retour de Giresse et deux victoires précieuses contre les Belges et les Hollandais, avec un coup-franc du Maestro en prime : c’était 1981, une année façon montagnes russes.